S’il ne fallait aimer que lui…

S’il ne fallait aimer que lui, s’il ne fallait n’être aimé que de lui, alors cela nous suffit
De son cœur aimant et bienveillant jaillit le remède pour tous les cœurs
De ses paroles douces, et concises jaillit la conviction pour les esprits
De la paume de sa main parfumée jaillit la tendresse et l’affection
De son sourire éclatant aux dents blanches et alignées jaillit la lumière
De son visage beau et accueillant jaillit la clarté de la lune
De ses yeux noirs et intenses jaillit la bonté
Qu’il me tarde de te voir, de t’entendre et de te sourire
Qu’il me tarde de t’admirer, de te raconter mes peines et entendre tes conseils
Qu’il me tarde mon bien-aimé de boire de tes mains bénies afin que plus jamais, je ne ressente la soif
Qu’il me tarde mon bien-aimé de verser auprès de toi des larmes de gratitude
Qu’il me tarde de contempler ton visage, entendre ta voix, m’asseoir auprès de toi
En attendant cela, je t’offre mes mots, je t’offre ma plume
Paix et salut de Dieu sur toi bien-aimé de Dieu, sur tes épouses, ta descendance et les gens de ta maison.